Roky Erickson : la résurrection est-elle encore possible?
La discographie solo du leader du groupe psychédelique the 13th floor elevator est donc essentiellement composée de compilations de live (ou parfois le chanteur jouait trois chansons avant de disparaître), de démos et de reprises (Buddy Holly, Elvis Presley...) dont certaines enregistrées dans des chambres d'hôtels (!!!) avant de trouver un album studio assez bon et genre psychobilly (style the cramps) en 1981 (the evil one), un autre en 1987 (don't slander me) ainsi qu'un mini album pour le label français new rose (starry eyes). En fait, les albums ont été enregistrés quand l'état du chanteur le permettait... et les chansons parlent souvent de satan, de monstres et de rédemption; on comprend pourquoi vu sa biographie !
Extraits : Roky_Erickson_Bumble_bee_zombie